Lorsqu’on est amené à prendre une décision concernant notre argent, le premier réflexe est souvent de chercher la sécurité!
Le problème c’est que, même si on sait qu’en prenant davantage de risque, on pourrait davantage s’enrichir, on va plutôt penser au fait qu’on pourrait tout perdre…
Mais si on prenait ce risque, que se passerait-il ?…
En fait, examinons d’abord ce qui se passe lorsque nous prenons la décision de rester dans notre zone de sécurité:
- Tout d’abord, c’est assez confortable de se dire qu’il ne peut pas nous arriver grand chose de négatif; Cependant la contre-partie est qu’il ne risque pas de se passer grand chose d’extrêmement positif non plus, puisqu’en gagnant 1 euro sur 100 euros placés sur un Livret A par exemple, vous allez mettre beaucoup de temps à vous enrichir c’est évident.
- Très rapidement, le sentiment de confort fait place à un sentiment de frustration, voire d’ aigreur, du fait de la limite qu’impose la sécurité en elle-même. Mais on préfère quand même gagner un peu, plutôt que de risquer de perdre gros. On préférera, jour après jour, se rendre à notre travail à reculons, mais être sûre de voir la paye tomber à la fin du mois, plutôt que de risquer la banque-route pour tenter de vivre comme on l’entend, surtout si on a des enfants.
- Il se peut que notre décision de sécurité financière nous rende prisonnier de notre situation parce qu’ on ne voit plus comment sortir de la situation dans laquelle on se trouve pour passer à un niveau supérieur; On peut alors se laisser aller à la colère en pestant contre son patron, l’économie, voire contre le monde entier… Mais au final, notre choix de sécurité nous fait du tord à nous-mêmes et nous fait perdre confiance en nos capacités!
En somme, en voulant éviter le risque, on prend tout de même le risque d’ aller à l’encontre de ce qu’on souhaite vraiment!
Alors pourquoi prenons-nous nos décisions financières au travers de ce filtre de sécurité puisqu’ il nous empêche d’avancer vers ce qu’on souhaite?
En fait, quand on recherche la sécurité, c’est parce qu’on a PEUR. Le besoin de protection, de sécurité, ou d’être rassuré est une variante de la peur.
Nous avons l’habitude d’ interpréter la peur comme signifiant un danger!
Vous connaissez le vieil adage qui dit: “La peur n’évite pas le danger!”. Et bien, non seulement, la peur n’évite pas le danger, mais en réalité, la peur du manque attire le manque, la peur d’être trahi attire la trahison, la peur du risque attire l’insécurité… parce que comme nous pensons qu’il y a danger, nous le cherchons et le voyons partout, même là où il n’est pas à priori; Nous finissons donc par le créer…
Mais la peur n’est PAS le danger. LA PEUR N’ EST QU’ UN SIGNAL!
Et plus précisément, la peur est le signal simplement que nous sortons de notre zone de confort; C’est à dire que nous faisons, ou nous nous apprêtons à faire, quelque chose que nous n’avons pas l’habitude de faire, C’ EST TOUT!!!
Lorsque nous faisons quelque chose pour la première fois, et même si nous savons que le résultat sera positif pour nous à priori, nous avons peur. Alors c’est bien évident d’avoir peur lorsque nous faisons quelque chose pour la première fois dont nous ne connaissons pas à priori le résultat!
Nous avons peur dans tous les cas de figures lorsque nous faisons quelque chose de nouveau, que ce soit à priori bon pour nous, ou que nous ne le sachions pas, parce que la peur est juste le signal que NOUS FAISONS QUELQUE CHOSE QUE NOUS N’ AVONS PAS L’ HABITUDE DE FAIRE!!! Et non pas le signal d’un danger comme nous l’ interprêtons mal… Réalisez-vous ce que ça signifie?
Ça signifie que peut être vous prenez des décisions financières qui ne vous permettent pas d’avancer et de vous enrichir, simplement parce que vous avez peur et que vous l’ interprétez comme un danger menaçant pour votre argent, alors que si ça se trouve, ce qui vous fait peur aujourd’hui est peut-être ce qui vous apporterait ce que vous espérez tant!
En fait, indépendamment du fait que ce soit bon ou mauvais pour nous, lorsque nous faisons quelque chose que nous n’avons pas l’habitude de faire, nous ressentons ce SIGNAL intégré en nous. Mais lorsque plus tard, nous avons pris l’habitude de faire cette chose qui nous effrayait tant, non seulement le signal n’est plus là évidemment (puisque nous avons l’habitude de faire cette chose), mais en plus, cette chose effrayante au départ, nous semble si facile et on est à l’aise à la faire! Vous souvenez vous de la première fois où vous avez fait du vélo? De vos premières tentatives pour nager à la piscine? Ben, c’est pareil avec les choses qu’on met en place la première fois avec notre argent!
La première fois que j’ai acheté une maison, j’avais peur même si c’était ce que je voulais. Après plusieurs transactions immobilières, on pourrait croire que c’était la routine pour moi! Oui…presque, je veux dire oui pour les transactions de maisons. Mais lorsque j’ai acheté un petit immeuble, et même si c’était ce que je voulais, vlan le signal est revenu!!!
C’est tout à fait naturel d’éprouver de la peur, mais il ne faut pas se tromper dans l’ interprétation qu’on en fait, sinon, on s’ enlise au lieu d’avancer!
Même si vous savez maintenant que la peur n’est qu’un signal, comment savoir malgré tout, si la décision que vous prenez est une décision risquée ou bonne pour vous?
Pour prendre les bonnes décisions financières pour soi, il ne faut pas prendre la décision par la peur dans le style : “j’ai peur, ça veut dire qu’il y a danger, donc j’y vais pas”, vous le savez à présent; Parce que sinon, votre décision sera toujours de faire marche arrière dés que vous aurez l’occasion de faire quelque chose de nouveau, et pendant que vous examinez simplement si vous avez peur ou pas, vous n’examinez pas le vrai sujet qui est de savoir quoi faire avec votre argent!
Alors voici ma façon perso de procéder à une prise de décision financière qui ne repose pas sur la peur de manière à juste me concentrer sur ce que je fais ou non de mon argent:
- Si je ressens de la peur, à ce moment là, je sais que je m’apprête à faire quelque chose que je n’ai pas l’habitude de faire; Alors, je le remarque simplement: “tiens le signal” . Ça permet, un peu comme une alarme que tu prends en compte, de faire cesser le retentissement “sonore” tout en laissant les voyants allumés de manière à permettre au système d’ être de nouveau opérationnel pour un autre signalement pendant que tu traite le “problème”; En fait, tu dis à ton mécanisme psycho-cybernétique responsable de ce signal que tu l’as bien pris en compte, et que tu vas te pencher sur la question. Car le but de la peur, c’est de vous signifier que vous sortez de votre zone de confort afin que vous ayez l’occasion de choisir un nouveau cap…ou pas…
- Ensuite donc, je me penche sur le vrai sujet en me posant simplement 3 questions:
- ” Est-ce que j’ai envie de faire ça?”. C’est en effet TRÈS IMPORTANT de savoir pourquoi on fait les choses, quel sens on leur donne. Elles doivent être en accord avec ce en quoi nous aspirons, pour qu’une fois réalisées, ces expériences nous apportent de la satisfaction et nous aident à réaliser nos rêves. Cette question permet de mettre de côté les peurs d’autrui. Et il y en a toujours des gens pour vous communiquer leurs peurs dans le style de ” Ah bon, tu vas faire ça, mais t’as pas peur de…, moi je connais un tel qui a fait ça et qui s’est vautré…, moi si j’étais toi… “, quand ce n’est pas carrément: “Tu me fais peur, ou j’ai peur pour toi, ou encore, ça ne marchera jamais…” . Cette question permet de se recentrer pleinement sur ce que SOI on veut faire, et prendre une décision pour NOTRE bien !
- “Quelle serait la pire chose qui puisse arriver si je fais ça, qu ‘est-ce que je perdrais réellement si je prends la décision de le faire?”. Cette question est très importante pour rationaliser ses craintes et savoir exactement ce que serait la pire des configurations. Le mieux est de chiffrer si possible cet impact négatif de manière à se baser sur des éléments fiables et tangibles. Souvent, on s’aperçoit que le danger est moins important que ce qu’on avait imaginer… 🙂
- ” Suis-je capable d’assumer cette pire des configurations?” . Si la réponse est OUI, perso je fonce! Si la réponse est NON, je me demande alors ce que je pourrais faire ou apporter qui rendrait la situation acceptable pour moi, et si avec ces nouveaux éléments, je peux assumer la pire des configurations, je fonce, si je ne peux pas, je n’y vais pas.
- À ce stade, que je décide de foncer vers mon projet financier ou pas, je remercie mon mécanisme psycho-cybernétique (auquel on peut donner un petit nom sympa si on veut car c’est en quelque sorte notre gardien perso 🙂 ) de m’avoir signalé que je sortais de ma zone de confort, qu’il a fait du bon boulot, et si je veux quand même essayer cette nouvelle chose, alors je lui dis que “go, go, go, j’y vais quand même parce que c’est là que je veux aller”. Ça permet à votre petit gardien de commencer à retirer le signal de peur; En effet, la peur commence à s’estomper et on peut avancer, le gardien intègre ces nouvelles données comme faisant partie de votre nouvelle zone de confort.
Voyez, pour prendre de bonnes décisions financières (ou autres d’ailleurs), votre décision doit être PERSONNELLE et RATIONNELLE . De plus, plus on élargit les murs de notre zone de confort, plus on est capable de faire plein de choses sans avoir peur.
Cette découverte tirée de la Science Quantique a été déterminante pour moi dans mon apprentissage de la science de l’ enrichissement afin d’être pleinement aux commandes de ma vie et avancer plus vite. J’ avais envie de partager cette information que je trouve CAPITALE avec VOUS, et j’ espère qu’elle vous aidera comme elle m’a aidée 🙂
Laissez-moi un petit commentaire pour me dire si vous pensez que les mécanismes de la science de l’enrichissement (comme celui-ci) pourraient vous aider vous aussi à AVANCER dans votre vie. Un grand merci à vous qui me lisez!
À vos rêves,
Isabelle
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