A ceux qui ont le courage de vouloir une vie meilleure, et qui veulent répartir les richesses.

Il vous tient. Vous savez que c’est à votre détriment. Mais il vous tient quand même.

 

Vous savez qu’ avec les récentes décisions politiques pour la France, votre avenir est menacé:

 

Le système en place vous dirige vers un marasme financier et humain. Vous allez être fliqués, même si vous n’ avez rien à vous reprocher. Matraqués par la fiscalité. Violentés par l’ insécurité ambiante. Et ponctionnés par les banques…

 

Vous souhaitez répartir les richesses et vivre dans un monde en paix ? Vous allez avoir de plus en plus peur et vous appauvrir

 

 

 

Sauf si vous cherchez à comprendre véritablement ce qui se passe.

 

Vous êtes partagés entre la juste émotion pour les victimes et la colère contre ceux qui ont commis ces actes monstrueux. Moi aussi.

 

Vous n’ êtes pas pour la guerre. Non. Mais si c’est le seul moyen pour recouvrer la paix…vous dites-vous peut-être.

 

Mais qui paye déjà et va payer encore davantage ?

 

Vous, et les vôtres. Nous, et ceux que nous aimons.

 

Vous vous faites une raison peut-être: vous continuez à payer, à subir, à montrer votre soutien à la France croyant défendre une noble cause. Ce n’ est pas le monde auquel vous aspirez, mais c’est comme ça.

 

Et si je vous disais qu’ une alternative existe ?

 

Et si vous aviez accès à des informations sur les événements qu’ on se garde bien de vous révéler dans les médias grand public et qui vous permettraient de faire de meilleurs choix ? Pour vous. Pour les vôtres. Pour les autres et les générations à venir.

 

Je sais ce que vous pensez: tout le monde sait que ça magouille là haut, connaitre l’ envers du décor ne m’ aidera pas à avoir une meilleure vie, ni à changer le monde en un monde où il ferait bon vivre.

 

C’ est ce que je croyais aussi.

 

 

C’ est ce que je croyais avant de comprendre. Avant d’ avoir une vue globale du système.

Quand j’ ai compris, j’ ai d’ abord pleuré.

 

Un sentiment de révolte m’ a envahie. Je me suis dit que tout le monde devait savoir. Je me suis demandée ce que je pouvais bien faire. Je devais faire quelque chose.

 

Investir pour vous constituer un patrimoine. Ne pas dépendre que de votre salaire. Que d’ un seul revenu. C’ est une première étape.

 

L’ idée de s’affranchir de son patron est plaisante pour beaucoup de gens, mais ce n’ est pas le seul enjeu.

 

Cessons les amalgames: à part les multinationales qui font parties du sytème qui vous appauvrit, les patrons de PME ne sont pas mieux lotis que leurs salariés dans ce système très injuste qui n’ enrichit qu’ une petite poignée de très riches banquiers ou industriels, au détriment du plus grand nombre: vous et moi.

 

L’ idée n’est pas d’ avoir l’ occasion de dire merde à votre patron parce que vous serez capable vous-même de créer de la richesse. L’ idée est que vous sachiez vous-même créer de la richesse qui vous profite à vous, mais également aux vôtres, et aux autres. Pour avoir moins peur. Pour ne pas attendre que ça vienne de l’ extérieur. Pour agir en faveur du monde que vous souhaitez.

 

J’ai bossé comme une damnée pour pouvoir construire mon patrimoine immobilier. Je faisais des journées de 20 heures de boulot, enchaînant la rénovation par – 4 °c à la lampe torche même les soirs de réveillons après avoir effectué plusieurs vols dans la journée. Pourtant, je ne suis pas à l’ abri de tout perdre moi non plus.

 

La ville dans laquelle je vis a été rasée presque entièrement à trois reprises à cause des guerres: d’ abord incendiée au moyen-âge, elle fût reconstruite puis classée « irrécupérable » après la première guerre mondiale. De nouveau reconstruite à la sueur du front de ses habitants, la seconde guerre mondiale la dévastait à nouveau. Elle était l’ un des plus grands Marquisats du Royaume de France. Une partie de notre monnaie y était frappée. Paris garde encore de somptueuses constructions des Marquis de la ville.

 

Mais aujourd’ hui, plus personne ne la connait.

 

Demain, une nouvelle pluie de bombardement peut venir détruire ce que j’ai bâti, et je suis bien d’ accord que ce serait un moindre mal si on ne parle que de mes murs.

 

Mais justement, je ne suis pas seule concernée.

 

Comprendre le système m’ a permis de prendre certaines dispositions pour protéger les miens en achetant de l’ or par exemple, et je vous y encourage.

 

J’ ai aussi décidé de vous aider comme je le pouvais en partageant avec vous ce que je sais et qui est exprimable par écrit.

 

Tout à coup, comprendre le système fût comme de voir pour la première fois.

 

De voir clair dans ce qui semblait si compliqué économiquement, financièrement, politiquement, socialement et historiquement parlant.

 

Le système a été conçu pour s’ effondrer. Vous ne pouvez pas savoir quand, mais il va s’ effondrer. Une grave crise arrive à grands pas.

 

La guerre permet de faire perdurer le système par la dette qu’ elle génère. Elle prend des vies humaines pour permettre à un système défaillant et appauvrissant de durer le plus longtemps possible afin d’ enrichir toujours plus cette petite poignée de riches banquiers et industriels.

 

Et pourquoi on supporte tout cela ?

 

En un mot : par méconnaissance.

 

On croit en ce que racontent les « grands de ce monde ». Il n’ y a qu’ à voir comme notre Président remonte dans les sondages depuis le milieu de ce mois (novembre 2015). Les médias orientent les pensées de ceux qui ignorent.

 

On ne peut humainement pas envisager jusqu’ où les choses peuvent aller pour préserver ce système insidieux. Mais vous y êtes mis à contribution malgré vous.

 

Vous êtes manipulés à votre insu. Vous réagissez comme on souhaite que vous réagissiez. Vous l’ ignorez mais vous contribuez à ce monde qui ne vous plait pas. Par méconnaissance.

 

Le jour où j’ ai su. Oui. J’ ai pleuré. J’ ai cherché ce que je pouvais faire à mon niveau. J’ ai mis en place ce que je pouvais depuis.

 

Le jour où j’ ai su, choquée, j’ ai cherché à en savoir plus. J’ ai appris à mon détriment qu’ il ne fallait pas trop creuser dans cette direction.

 

Le jour où j’ ai su, je me suis vraiment sentie impuissante face à la situation.

 

Et puis j’ ai repensé aux formidables découvertes de la mécanique quantique, et je me suis accrochée au pouvoir que nous avons de changer les choses.

 

Je ne peux pas changer le système. Le monde dans lequel nous vivons. Les autres. Mais je peux contribuer au monde dans lequel je souhaiterais vivre.

 

Je peux moi-même être responsable de ma vie. Suivre mon coeur et faire les choses par amour. Quitte à ne pas être entendue. Quitte à passer pour une marchande de rêves ou de tapis.

 

Après tout, pleurer et me révolter ne servirait en rien un monde meilleur. Tout au plus, j’ aurais contribué à servir la mauvaise cause. En alimentant la haine et la violence.

 

Un visiteur du blog a écrit dans le sondage en ligne: « Je ne souhaite pas m’enrichir… Je souhaite que tout le monde puisse profiter de la richesse créée par le fruit de notre travail, et savoir comment répartir ladite richesse créée, votre blog n’ est pas utile. »

 

Mais si personne ne s’ enrichit, qu’ y a t-il à partager ?

Moi aussi je souhaite que tout le monde puisse profiter de la richesse créée par le fruit de notre travail.

 

Quand j’ investi, je travaille. Et je fais travailler des entreprises. J’ offre un produit à des clients en demande. La plupart du temps mes clients me disent merci. Ce travail me permet de vivre, mais aussi de partager avec les autres. En donnant. En redonnant une partie à mes clients indirectement en améliorant sans cesse mes produits selon leurs souhaits. En permettant à des artisans de faire du chiffre d’ affaire grâce à mes chantiers et donc indirectement de faire vivre leur propre famille. En partageant avec vous mon expérience, même si je suis limitée à ce que je connais uniquement et ne peux donc pas répondre à toutes les attentes bien évidemment.

 

Ce n’ est pas simple de s’ exposer publiquement.

 

J’ ai peur. Souvent.

 

Mais, ce n’ est pas la peur qui me motive. C’ est mon envie de contribuer à un monde meilleur. Mon envie d’ aider ceux qui ont envie de s’ enrichir à pouvoir le faire en partageant mes humbles connaissances.

 

Pour partager les richesses, ne faut-il pas déjà avoir soi-même quelque chose à partager ?

 

N’ a t-on pas plus de capacité de décision. De capacité de choisir comment partager lorsqu’ il s’agit de sa propre richesse que l’ on crée soi-même? Compter sur un système défaillant et injuste qui est proche de la noyade pour répartir les richesses n’ est-il pas aberrant ?

 

Je vous met à contribution dans la réflexion avec un exercice basé sur les stratégies de communication: Apporter chacun 10 réponses à cette simple question: « Et si tout le monde était son propre patron, si le salariat n’ existait plus, que se passerait-il ? »

 

Ne pas vouloir s’ enrichir mais vouloir partager les richesses – de qui? des autres ? – est un non-sens.

 

Attendre que les solutions viennent de l’ extérieur en se déresponsabilisant n’ apporte rien à personne. C’ est enfantin tout au plus. C’ est mettre entre les mains d’ autres- et pas forcément les mieux intentionnés du monde – son destin.

 

Ce que personne ne veut que vous sachiez, certains essaient de vous le dire comme ils peuvent.

Comprendre les évènements, et le système dans lequel vous évoluez peut vous permettre de changer les choses. De faire des choix financiers en toute connaissance de cause.

 

Un jour, une ancienne collègue de travail m’ a demandé: «  Mais pourquoi ceux qui savent comment faire pour s’ enrichir ne nous disent pas comment faire. Moi j’ aimerais bien savoir. Mais tout est compliqué, on a l’ impression qu’ il faut avoir fait un master en économie et en finances pour réussir et ne pas se faire avoir »

 

Bah, ceux qui savent ne sont pas entendus ou écoutés. Parce que les réponses ne plaisent pas: ça ne peut pas être les croyances limitantes. A elles seules non. Elles sont l’ un des ingrédients de la recette. L’ ingrédient le plus important. Elles ne font pas bouger les choses comme par magie à elles seules. Mais sans les changer si. Elles vous bloqueront. Elles ne permettront pas d’ évoluer. N’ importe qui peut en faire l’ expérience.

 

Ceux qui savent tentent de partager d’ une manière ou d’ une autre. Ils sont souvent violemment critiqués et injuriés par ceux-là même qu’ ils tentent d’ aider. C’ est une réalité. Vous en avez un très bel exemple dans l’ un des commentaires de ce blog, et je ne suis pas la seule.

 

Ceux qui savent prennent des risques. Tout n’ est pas “dicible”.

 

Le conditionnement par l’ école, la société, les médias, les « hommes » d’ influence est si puissamment enraciné qu’ il peut être presque impossible, même pour quelqu’ un de raisonnable, d’ envisager de telles révélations comme étant la réalité:

 (Cette vidéo ci-dessus permet de comprendre globalement le système, pourtant ce site américain ayant “pignon sur rue”  sur le net la présentant n’ est probablement pas… comment dire… là pour vous informer réellement…).

C’ est troublant. Je le sais.

 

Tout cela n’ a qu’ un résultat:

 

La confusion.

 

C’ est l’ inversion des valeurs. Au point où vous contribuez à votre propre malheur en pensant agir pour une noble cause. Où vous sabotez toute tentative de ceux qui veulent vous aider. Où vous mettez vos espoirs entre les mains de ceux qui peignent à votre place votre monde. Est-ce que ça vous plait là où on vous emmène ?

 

Je suis certaine que non.

 

La vérité ne peut pas être dite ou écrite. Avec les nouvelles lois, n’ importe qui pourra être censuré, mis en prison ou pire. Et le reste du monde croira à la version officielle le concernant.

Oui c’est aussi terrible que ça.

 

Oui, je comprends qu’ on puisse ne pas y croire.

 

Oui c’est le pot de terre contre le pot de fer.

 

Sauf si vous vous réveillez. Tous. Cessez de vous voiler la face.

 

Parce que nous sommes le nombre.

 

Sans votre consentement. Malgré vous. Par méconnaissance. Cette direction scabreuse du monde ne pourrait exister.

Essayez de voir au delà de la complexité dans laquelle on essaie de vous perdre.

 

J’ ai envie de terminer cet article, un peu particulier aux vues de l’ accélération et de la tournure des événements, par une chanson que me chantait souvent ma grand-mère. Elle, qui a connu la guerre. Les paroles sont issues d’ un poème dont je prie l’ auteur de bien vouloir m’ excuser d’ avoir oublié le nom.

 

Je vous prie également de bien vouloir m’ excuser de ne retranscrire qu’ un extrait de mémoire d’ enfant.

 

«  Monsieur Le Président,
Je vous fais une lettre
Que vous lirez peut-être
Si vous avez le temps.

 

Je viens de recevoir
Mes papiers militaires
pour aller à la guerre
avant mercredi soir.

 

Monsieur Le Président,
Je ne veux pas la faire
Je ne suis pas sur Terre
Pour tuer de pauvres gens.

 

Ma décision est prise
je m’en vais déserter

 

Depuis que je suis né
J’ai vu mourir mon père
J’ai vu partir mes frères
Et pleurer mes enfants

 

Ma mère a tant souffert
Qu’elle est dedans sa tombe
Et se moque des bombes
Et se moque des vers

 

Demain de bon matin
Je fermerai ma porte
Au nez des années mortes
J’irai sur les chemins

 

Je mendierai ma vie
Sur les routes de France
De Bretagne en Provence
Et je dirai aux gens

 

Refusez d’obéir
Refusez de la faire
N’allez pas à la guerre
Refusez de partir
S’il faut donner son sang
Allez donner le vôtre
Vous êtes bon apôtre
Monsieur Le Président

 

Si vous me poursuivais
Prévenez vos gendarmes
Que je n’ aurais pas d’ armes
Et qu’ ils pourront tirer »

 

En cherchant un peu, voici la version complète de ce sublime texte de Boris Vian:

 

A ceux qui ont le courage de vouloir un monde meilleur.
Isabelle

Author: Cécile Branois

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